En 1974, le rock dit progressif, né dans les effluves du psychédélisme et l’émergence de musiciens de formation classique, touche à la fin de sa grande période. Comme d’autres groupes-phares (King Crimson, Pink Floyd, Yes) à des points charnières de leur trajectoire, Genesis vit une crise de croissance. Après quatre albums, le groupe a épuisé sa première veine (lyrisme orchestral, syncopes folk ou jazz, imaginaire fantastique). Peter Gabriel, chanteur et figure de proue, s’apprête à le quitter. Il accumule des textes d’inspiration très urbaine qui vont nourrir un double-album où ses partenaires semblent se faire violence pour accoucher d’une œuvre extrême et sans lendemain, aux confins du planant et du punk. En somme, un chouette programme de dégustation que nous accompagnerons bien sûr tout d’un bon verre de vin.
Vous êtes interéssé.es par cette dégustation ?
vers vous.
Prochainement
30 à 50 participants
01 Dégustations
02 Intervenants
03 Lieux
04 En bouche
Une dégustation orchestrée par
François Gorin
François Gorin a été journaliste à Rock&Folk,
puis au Matin de Paris, à L’Événement et aux Inrockuptibles.
Il est aujourd’hui critique de cinéma à Télérama
et auteur de nombreux ouvrages sur le rock