Avis aux amateurs de rock entêtant, de planches à cordes, de grattes, de Gibson, de Fender, d’amplis Marshall, de “disto”, de fuzz, de delay…. Avis aux amateurs de ces dimanches soirs dévolus à l’évasion et à l’oubli du lendemain.
Le “riff”, ce petit motif musical répétitif serait-il la signature sonore d’un morceau de musique et d’un morceau rock en particulier, ce qui fait la trace mémorielle d’un morceau, qui pousse tant de jeunes boutonneux que nous fûmes à acquérir pour le meilleur et pour le pire l’instrument du rock par excellence : une guitare électrique
Que dit Wiki ? Le mot viendrait de “refrain”. Il s’agit d’un court motif musical ou un ostinato, c’est-à-dire une combinaison de notes, d’accords ou un refrain joués de manière répétitive par la section rythmique ou le musicien soliste d’une formation musicale. Le riff n’est pas apparu avec les musiques contemporaines : on peut évoquer les ritournelles, bien antérieures.
Les musicologues américains David Brackett et Richard Middleton définissent le riff comme une « courte phrase mélodique » ou « une courte figure musicale rythmique, mélodique, ou harmonique répétée pour constituer la base d’une composition musicale ». Le musicien et essayiste Rikky Rooksby, quant à lui, considère que « le riff est une courte phrase musicale répétitive et facilement mémorisable qui constitue le principal moteur de l’énergie et de l’excitation provoquées par le rock ». La techno, répétitive par définition, se caractérise par le fait d’être uniquement à base de riffs (ce qui était déjà le cas, longtemps avant, du boogie-woogie). Quant à Wynton Marsalis, trompettiste de jazz, il définit le riff dans un morceau à l’image des pancartes rencontrées successivement sur la route, donnant à chaque fois la destination finale, avec le confort de savoir où l’on va.
Il constitue la base musicale et/ou rythmique ou bien encore l’accompagnement d’une composition et c’est typiquement l’accroche d’un morceau, la signature reconnaissable qui fait que lorsque l’on évoque un morceau précis à quelqu’un, le riff fredonné « parle » immédiatement.
Aux manettes de cette dégustation musicale inédite, Julien Bitoun, écrivain, conférencier et musicien nous plongera dans les sons, les techniques de ces riffs avec des exemples concrets recréés en direct. Entre chaque rasade de 6 cordes, Julien nous abreuvera d’anecdotes et d’explications nous permettant de revivre pleinement la création de ces pages d’histoire.
Au programme de la soirée
Au coeur du Studio A des Studios Ferber à Paris nous vous proposons un dimanche soir “rock’n’roll”. Un lieu mythique à l’acoustique irréprochable où tout respire la création musicale. Vous prendrez place autour de Julien qui vous embarquera pour un voyage immersif et musical au fil des grands riffs qui ont fait les grands morceaux que nous adorons toutes et tous. Nous nous délecterons à l’écouter jouer et nous raconter les histoires qui entourent la création des ces monuments et le questionnerons sur tout ce que nous avons toujours voulu savoir !
Reste à savoir quels vins s’accorderont le mieux à Keith, Jimi, Jimmy, Eric, et les autres…. Pour le savoir, rdv le 10 décembre en soirée à Ferber avec adlibitum !
Attention, places limitées.
Vous êtes interéssé.es par cette dégustation ?
vers vous.
Prochainement
Studio Ferber
30 à 50 participants
01 Dégustations
02 Intervenants
03 Lieux
04 En bouche
Une dégustation orchestrée par
Julien Bitoun
un croisement entre Philippe Manoeuvre et Billy Gibbons. Julien Bitoun est un personnage assurément.