Elle était actrice avant de chanter (elle l’a aussi été après), son nom reste associé pour l’essentiel à un standard absolu (Cry me a river, 1955), elle a enregistré une petite trentaine d’albums en quinze ans et depuis elle vit dans les limbes. Qui se souvient qu’elle est morte en 2000 ? Avec sa voix de gaze et sa sensualité fantasmatique, Julie London échappe au sens commun. Coachée par un mari musicien génialement méconnu (Bobby Troup), accompagnée par un orchestre ou juste une guitare, elle est pourtant sans équivalent parmi les vocalistes jazz. Une aura de mystère plane sur sa simplicité — voire sur son existence même. En somme, un chouette programme de dégustation que nous accompagnerons bien sûr tout d’un bon verre de vin.
Vous êtes interéssé.es par cette dégustation ?
vers vous.
Prochainement
30 à 50 participants
01 Dégustations
02 Intervenants
03 Lieux
04 En bouche
Une dégustation orchestrée par
François Gorin
François Gorin a été journaliste à Rock&Folk,
puis au Matin de Paris, à L’Événement et aux Inrockuptibles.
Il est aujourd’hui critique de cinéma à Télérama
et auteur de nombreux ouvrages sur le rock